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« Les CERC apportent sur le secteur de la construction un éclairage complémentaire aux données produites par le Ministère ; elles contribuent en particulier à mieux suivre dans chaque région, deux enjeux importants des politiques ministérielles : la rénovation énergétique des bâtiments et le traitement des déchets résultants de l’activité de construction. Le Ministère apporte son soutien afin de poursuivre l’effort d’harmonisation des méthodes et ce faisant, de dégager une vision cohérente du secteur de la construction dans les régions. »
« La poursuite de la collaboration entre l’Etat et le GIEC-CERC est un signal fort pour les acteurs de la construction et leurs partenaires, elle conforte la place du GIE comme acteur incontournable de la filière. En effet, les travaux des Cellules Economiques Régionales de la Construction bénéficient d’une expertise économique reconnue et appréciée notamment grâce à la production des tableaux de bord de conjoncture, des baromètres Bâtiment Durable ou encore des comptes de production. Le GIE-CERC et son réseau sont devenus un important lieu d’observation et de réflexion tant au niveau national que régional. »
« Le réseau des CERC s’inscrit, année après année, comme un outil de plus en plus indispensable. Ainsi, la FFB s’est naturellement tournée vers le GIE des CERC lorsqu’il a fallu, dans l’urgence, à la demande des Pouvoirs publics, mettre en place un outil de suivi régulier de situation du secteur au sortir du confinement Covid-19. La réseau a su répondre dans un délai extrêmement court et produire, tous les quinze jours, une enquête de suivi de la reprise de l’activité du bâtiment. La qualité de ces travaux, qui ont donné lieu à cinq vagues d’interrogations, s’est avérée reconnue de tous, puisque les résultats en ont été repris et cités à plusieurs reprises par le gouvernement. Par ailleurs, depuis 2018, la FFB confie au réseau des CERC la réalisation d’une enquête trimestrielle relative à l’activité en amélioration-entretien des bâtiments déclinée par région. Ce travail reste indispensable pour bénéficier d’une information fiable et de qualité sur un segment jusqu’alors totalement absent de la statistique publique, bien qu’il représente plus de la moitié du chiffre d’affaires du secteur. Il le devient d’autant plus que le gouvernement axe son plan de relance sur le segment de la rénovation énergétique. Au travers de ces deux exemples, le réseau des CERC a montré une nouvelle fois sa capacité à innover, tout en continuant d’assurer les travaux mis en place dès son lancement et qui ont fait sa renommée, tant à l’échelon local que national. »
« L’expertise des CERC est une aide précieuse pour l’analyse économique du secteur des Travaux Publics au plus près des territoires : que ce soit à travers le suivi de la conjoncture locale, l’analyse de la dynamique des investissements locaux ou encore la connaissance du patrimoine d’infrastructures, les diagnostics apportés par les CERC sont des outils nécessaires pour appréhender l’avenir de notre profession et ses évolutions. Le GIE des CERC apporte une cohérence nationale à l’ensemble de ces analyses. L’enjeu est d’autant plus stratégique à un moment où nos entreprises demandent une vision en matière de politique d’investissement et d’infrastructures. Toutes les compétences et éclairages qui pourront être apportés dans cette optique seront ainsi utiles pour la profession bien entendu, mais aussi plus largement pour l’intérêt général de notre pays. »
« L’année 2018 restera un bon cru pour notre filière de la construction, avec d’une part, la consolidation de l’activité et, d’autre part, avec le renouvellement de la Charte qui cimente les liens du réseau des CERC et des différentes parties prenantes du GIE. Cette nouvelle convention de partenariat favorise le développement des travaux des cellules économiques, dont l’expertise est largement reconnue, en renouvelant un cadre de confiance entre les services de l’Etat, les organisations professionnelles et le réseau. Parmi les grands axes de travail fixés par la convention, celui qui relève de la transition écologique et de l’économie circulaire intéresse plus particulièrement l’UNICEM. En effet, au-delà des engagements en matière de recyclage et de valorisation des déchets, nos professionnels ont à relever le défi de la transition énergétique…. Et les travaux des CERC offriront un éclairage utile et précieux par leur approche quantitative et qualitative de ces enjeux cruciaux pour l’industrie de demain. »